附录二
3个月前 作者: 伊妮德·斯塔基
Ces passions
Ces passions qu''eux seuls nomment encore amours
Sont des amours aussi, tendres et furieuses,
Avec des particrités curieuses
Que n''ont pas les amours certes!de tous les jours.
Même plus qu’elles et mieux qu’elles héro?ques,
Elles se parent de splendeurs d''ame et de sang,
Telles qu''au prix d''elles les amours dans le rang
Ne sont que Ris et Jeux ou besoins érotiques,
Que vains proverbes, que riens d''enfants trop gatés.
-“Ah!les pauvres amours banales, animales,
Normales!Gros go?ts lourds ou frugales fringales,
Sanspter sottise et des fécondités!”
-Peuvent dire ceux-là que sacre le haut Rite,
Ayant conquis plénitude du isir,
Et l''insatiabilité de leur désir
Bénissant fdélité de leur mérite.
La plénitude!Ils l’ont supetivement:
Baisers repus, gorgés, mains privilégiées
Dans richesse des caresses repayées,
Et ce divin fnal anéantissement!
Comme ce sont les forts et les forts, l''habitude
De force les rend invaincus au déduit.
ntureux, savoureux, débordant, le déduit!
Je le crois bien qu''ils l''ont pleine plénitude!
Et pourbler leurs voeux, chacun d''eux tour à tour
Fait l''action suprême, a parfaite extase.
-Tant?t coupe ou bouche et tant?t le vase,-
Paméme nuit, ferventme le jour.
Leurs beaux ébats sont grands et gais.Pas de ces crises:
Vapeurs, nerfs. Non, des jeux courageux, puis d''heureux
Brass autour du cou, pour de moinsngoureux
Qu''étroits sommeils à deux, tout coupés de reprises.
Dormez, les amoureux!Tandis qu''autour de vous
Le monde inattentif aux choses délicates,
Bruit ou g?t en somnolences scélérates,
Sans même, il est si bête!être de vous jaloux.
Et ces réveils francs, irs, riants, vers l’aventure
De fers danmés d’un plus magnifque sabbat?
Et salut, témoins purs de l’ame en cebat
Pour l''affranchissement de lourde nature!
(Parallèlement)